Skip to main content
Actualités en bref

Conférer une dimension parlementaire à la 62ème session de la Commission de la condition de la femme

L’UIP a organisé une série de manifestations parallèles à la 
62ème session de la Commission de la condition de la femme. © IPU/P. 
Torsney

L’UIP a organisé une série de manifestations parallèles à la 62ème session de la Commission de la condition de la femme. © IPU/P. Torsney

L’UIP a été très présente à la 62ème session de la Commission de la condition de la femme. En plus d’une réunion parlementaire, elle a organisé le 14 mars 2018 une série de manifestations parallèles.

  • La réunion Assurer la sécurité des femmes en politique : les solutions institutionnelles, co-organisée avec ONU Femmes et la Mission permanente du Canada, a porté sur la violence faite aux femmes en politique, un problème mis en lumière par l’UIP dans une publication parue en 2016. Les institutions politiques ont souvent une culture sexiste, ce qui en fait un environnement hostile pour les femmes qui y travaillent. A la suite de l’émergence du mouvement mondial #MeToo, plusieurs parlements ont pris des mesures pour y remédier. Ce thème a eu beaucoup de succès : 130 personnes se sont serrées dans la salle et tout le monde n’a pas pu rentrer !
  • La réunion Quotas de femmes et quotas de jeunes : complémentarité ou concurrence ?, co-organisée avec la Mission de Trinité-et-Tobago, a attiré 80 participants. Les données recueillies par l’UIP montrent que dans les parlements où il y a beaucoup de femmes, il y a souvent aussi beaucoup de jeunes. En effet, les quotas de jeunes et les quotas de femmes sont souvent utilisés en tandem. Les intervenantes ont débattu des enseignements à tirer de cette pratique, de la façon dont les quotas de jeunes pouvaient favoriser l’égalité des sexes au parlement, ainsi que des moyens à mettre en œuvre pour encourager les jeunes femmes à faire de la politique.
  • La réunion Faire progresser l’égalité des sexes dans le droit de la nationalité s’est intéressée aux lois de la nationalité discriminatoires qui n’accordent pas aux femmes les mêmes droits qu’aux hommes (s’agissant notamment de la transmission de sa nationalité à ses enfants ou à son conjoint). Ces lois constituent une violation des droits fondamentaux des femmes. Certains pays ont cependant commencé à réformer ces lois. Les enseignements tirés de ces réformes ont été présentés durant la réunion.

Pour avoir une meilleure idée de ces réunions, consultez le résumé Storify.